En Décembre dernier, l’Arboretum de Roure a eu le privilège d’intéresser 3 chercheurs du CNRS qui réalisaient un travail de classement au niveau mondial, des jardins dits périphériques « mis en art in situ » (entendu de sites à haute valeur écologique et à faible densité de population).
Cette thématique de la mise en art in situ est bien connue de l’Arboretum, et accomplie par 20 ans de collaboration avec le collectif d’artistes no-made.
Les 3 chercheurs, Sylvain Guyot, Grégoire Le Campion et Olivier Pissoat, publiaient le 14 décembre 2020 dans Cybergeo : European Journal of Geography, un article intitulé « Diversité et enjeux territoriaux de la mise en art des espaces périphériques dans le monde », article ardu mais séduisant où l’Arboretum est mis en valeur dans un registre précieux, celui du « front éco-artistique ».
Cet article nous dit deux choses importantes au moins ;
D’une part, que notre démarche avec les artistes no-made à l’Arboretum est bien ancrée dans un large mouvement international actuel, no-made nous a guidés pour cela, mais aussi, que notre orientation vouée à l’écologie et la biodiversité depuis toujours, a en même temps été reconnue par le monde artistique.
C’est en quelques sortes une double réussite, pour l’écologie et pour les arts.
L’article est disponible [en ligne] sur le site Open Edition Journals, dans la rubrique Politique, Culture, Représentations, document 962, et consultable grâce au lien suivant :
(L’Arboretum de Roure est cité spécifiquement aux paragraphes 58 et 59)
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